Resto Japonais dans lequel je suis allé au début de mon séjour avec la directrice du marketing Veronika. Une nana originaire de Dublin, mais qui a longtemps vécu à Londres. Et la voila maintenant à Dublin, pour refaire toute l'image de la boite où je suis détaché. Elle comme moi, on est à l'hôtel au début. Il se trouve que l'on est dans le même. J'en parle plus tard, lorsque je parle du resto C Centra, qui est le bar de l'hôtel. Ainsi Veronika et moi discutons un peu en dehors du boulot. Les restos viennent naturellement dans la conversation. Je lui évoque mon appétit de sushi, maki et autre sashimi. Elle aime bien aussi. Il y a aussi d'autres trucs que j'aime bien et que je suis sûr qu'elle aime bien aussi. Le seul truc, c'est que je sais pas quel âge lui donner. De temps en temps elle peut avoir des allures de nana de trente balais super sexy, à d'autres de mémère.
Quand elle est la jolie mignonne de trente balais, effectivement elle me donne envie de lui demander si elle a pas envie de partager d'autres trucs que des sushi. Mais en revanche, lorsque la mémère se réveille, je regrette mes pensées, mon ressenti change radicalement... Je me souviens d'un des mecs avec qui je bosses dans les bureaux, qui me demande "Hey man, Veronika, would you fuck her?" Ce à quoi je réponds "You know what man, I don't know. But I guess not".
Donc je branche Véronika sur un jap accessible à pied. Étonnant. Dublin c'est un port, et alors que je m'attends à voir masse de resto japonais, conjecturant sur le fait puisque c'est un port, il y a du poisson, comme il y a par a force des choses des japonais à Dublin. Au moins, statistiquement c'est forcé, vu le brassage dans la ville. Mais il est vrai qu'avec un japonais dans tout Dublin, on va pas loin. Donc avant d'arriver dans cette ville, j'imagine le paradis du poisson cru. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis une fixation sur ça, mais j'y crois à fond!!!! A l'arrivée, j'ai trouvée 4 restaurants japonais, en tout et pour tout. Un de noddles principalement, un autre qui ne casse pas des briques, et deux autres bien j'ai envie de dire.
Donc le premier resto de sushi que je dégotte, il est en plein centre ville, tout prêt de Grafton street pour ceux qui connaissent. C'est le genre un long bar tout autour d'un tapis roulant. Il y a un alter ego français, mais je n'ai pas le nom sous la main.
Les sushi ne sont pas mauvais, je n'ai pas envie de dire ça, mais ils n'ont pas tous une super gueule. Pour se la faire poisson cru exclusivement, c'est un peu dur. Ca marche par petite assiette remplie d'un peu d'un plat japonais, genre omuretsu, suchis, maki, yakitori, etc. Ca défile sur un tapi roulant, la couleur des assiettes donne le prix. Je m'en suis sorti pour plus de trente euros, sans compter le saké. Il y a moyen de s'en sortir pour beaucoup moins et de manger à sa faim, mais il doit y avoir des moments où, comment dire ça donne un peu plus envie. Je suis un peu déçu, même si j'ai pu me faire une bonne dizaine d'assiettes, c'est pas le meilleur japonais de ma vie. Mais moment sympa à dragouser la directrice marketing.
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